mardi 2 juin 2015

« Des médecins dépassés par l'enfance? »

Par Vanessa Boulay

Les maladies mentales explosent chez les enfants : autisme, déficits de l'attention, bipolarité... Pourtant, ils ne sont pas plus malades qu'avant, assurent les spécialistes.

De nos jours, beaucoup d'enfants ressortent du bureau de leur médecin avec un diagnostic précoce, qui n'est pas nécessairement vrai ou adapté pour eux. Tous les gens qui travaillent dans le domaine de la santé ont accès a leur « bible», plus communément appelée le DSM, c'est-à-dire, le Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux. Ce qu'on y retrouve à l’intérieur est impressionnant. Par exemple: le trouble de personnalité limite, la bipolarité, le TDAH... Toutes les maladies mentales s'y retrouvent.

Aujourd'hui, en Amérique du Nord, c'est un enfant sur 100 qui serait diagnostiqué autiste. Selon les chiffres des épidémiologistes, c'est vingt fois plus que dans les années 1990. Dans ces  années-là, on diagnostiquait seulement un enfant sur 2000. Avec la multiplication des diagnostics, les médecins spécialistes ont donné aux associations de parents une meilleure force de frappe face au gouvernement pour marquer des points dans le but d'obtenir de l'aide. Depuis 2003, tous les enfants diagnostiqués autistes ont le droit à vingt heures de thérapie dans un centre de réadaptation public. En revanche, il y a d'autres maladies qui ne donnent pas accès automatiquement à ces services, par exemple, le syndrome de Gilles de la Tourette. Il y a une énorme inégalité d'accès aux services. Le Dr. Mottron, psychiatre, dit :  «Quand je retire un diagnostic d'autisme à un enfant, il y a des parents qui se mettent à pleurer dans mon bureau». Selon lui, il y a beaucoup trop de cas d'autisme pour ce qu'il en est réellement.

De plus, le TDAH est un trouble de l'attention avec hyperactivité et le TDA est un trouble de l'attention sans hyperactivité. Il est beaucoup trop facile, selon ce médecin, de poser le diagnostic de TDA ou TDAH. «Il suffit d'avoir un élève qui a besoin de bouger dans une classe de 30 élèves et un professeur débordé pour qu'il soit susceptible d'être diagnostiqué TDA ou TDAH... Ce n'est pas parce que tu as un besoin de bouger que tu es automatiquement TDAH. Plusieurs facteurs peuvent être en cause. Par exemple, une mauvaise nuit de sommeil, un changement dans sa vie ou même une mauvaise journée, ce qui peut arriver à tout le monde... Il est très important de bien prendre en compte tous les facteurs avant de poser le diagnostic et de médicamenter les enfants», selon le médecin.

Pour ce qui est de la bipolarité, c'est un trouble de l'humeur, par exemple, de l'irritabilité grave ou une grande rage. En 1994, aux États-Unis, on diagnostiquait 25 cas pour 100 000 visites d'enfants chez le médecin. En 2003, on dépistait 1003 cas pour 100 000 visites. Ce résultat est 40 fois plus élevé. Parmi les jeunes avec ce diagnostic, neuf sur dix sont traités avec au moins un médicament, les autres en prennent deux ou plus. Avec ses collègues, la Dre Patricia Garel, pédopsychiatre, a épluché près de 50 dossiers d'enfants ayant été diagnostiqués bipolaires entre 2006 et 2010. Dans presque tous les cas, il s'agissait d'enfants qui avaient une histoire de vie difficile. À leur sortie de l'hôpital, aucun n'avait gardé son diagnostic. Un mauvais diagnostic suivra l'enfant toute sa vie et teintera la vision qu'il a de lui-même. Il faut donc s'assurer qu'il a vraiment un trouble de bipolarité, aux dires de la Dre Garel.


En bref, n'importe quel enfant qui fait des banales colères infantiles pourrait se retrouver avec un diagnostic de maladie mentale. Avec les nouveaux critères du DSM, l’Association américaine des psychiatres vient peut-être d'ouvrir le barrage pour laisser passer le prochain tsunami. Le DSM est en grande partie responsable de tous ces diagnostics. Alors, chers parents, soyez vigilants face au diagnostic qui pourrait être rendu pour votre enfant.


mardi 26 mai 2015

Moi, jeune survivant (histoire vraie)


Par Maxime Fortin

Mon histoire commence en avril 2001, quand ma mère a eu son accident de camion poids lourd. Le 10 avril, l’ex-mari de ma mère prit un virage trop sec à Saint-Malo, près des douanes américaines. L’arrière de la remorque chavira du côté passager. Les derniers mots qu’il dit avant de verser, c’était : « Chérie, accroche-toé, on varse ». À ce moment là, ma mère n’eut pas le temps de réagir, elle eut juste le temps de se détacher que le camion était versé. De bons samaritains arrêtèrent pour aider ma mère. Quand l’ambulance arriva, ma mère venait juste d’être sortie du camion. Elle prit l’ambulance jusqu'à Sherbrooke, là où elle a été soignée.

Pendant ce temps,  j’étais à l’école, un mardi de printemps. Au retour de l’école, je m’aperçus que mes grands-parents étaient chez moi et d’autres autos que je ne connaissais pas. En rentrant, mon père, l’ami de ma mère, ma tante, ma grand-mère et des gens que je voyais pour la première fois étaient là. Quand je sus la nouvelle, je… je n’ai plus aucun souvenir de comment j’ai réagi, mais je sais seulement que je me suis réveillé à l’hôpital.  À la fin de la semaine, moi et mon frère, on fit nos valises pour aller habiter chez des gens qu’on ne connaissait pas du tout. Ces gens nous ont sûrement aimés pendant les quelques mois passés là.

Le retour de ma mère en septembre m’a paru si long que j'ai eu le temps de m’ennuyer terriblement d’elle. J’ai pensé à elle presque tous les jours, quand j'étais seul à l’école. Quelque temps après le retour de ma mère, j’ai remarqué qu’elle n’était plus comme avant. Elle se levait plus tard, dormait souvent, ne sortait presque plus... C’est à ce moment-là qu’elle a commencé à se droguer pour oublier la douleur et pour passer le temps. L’accident avait réveillé quelque chose en elle, qui la suivit longtemps.

Quand j'ai eu 9 ans, là, tout s’est déclenché : on déménagea à Saint-Benoît-Lâbre, dans la Beauce, où ma mère eut ses premières crises d’hyperventilation et où je vis la police de près. À l’école où je suis allé, les professeurs n’étaient pas vraiment compréhensifs face aux évènements qui m’arrivaient.  Alors, j’ai doublé ma deuxième année, j’ai fait un petit bout dans ce village avant d’être transféré à l’école Dionne, à Saint-Georges. Là où j'ai connu ma vraie meilleure amie que j’ai encore aujourd’hui. À partir de 2003, j’ai connu trois beaux-pères différents et plusieurs déménagements. J'ai compris que ma mère avait du bien-être social et qu’elle était invalide. 

En 2004, j’étais à l’école Lacroix en quatrième année à Saint-Georges. Ma mère s’est divorcée et a trouvé un nouveau conjoint, que j’aimais très peu à l’époque. C’est peu de temps après que moi et mon frère, on a été replacés en famille d’accueil.  Après plusieurs familles, on a été confiés à mes grands-parents. Et c’est finalement en 2005 qu’on est retournés chez notre mère.

En 2006, on déménagea dans un quartier bizarre de la ville et la police venait plus souvent chez moi. À cette époque, mon beau-père a fait deux fois de la prison. Moi, j’ai atterri en cheminement particulier à l’école Aquarelle. C’était la première fois que je restais dans une école plus de deux ans. J’ai terminé ma quatrième et ma cinquième année à cette école avec difficulté. À mon entrée à l’école secondaire, j’ai repris contact avec ma meilleure amie que j’avais perdue. À la maison, ça allait comme d’habitude : quelques fois, je revenais de l’école et la police était chez moi et quelques fois, c’était l’ambulance. En 2007, ma mère et mon beau-père ont été arrêtés par la police. Ma mère a fait quatre mois de prison et deux mois de réinsertion sociale. Quand ma mère était en prison, son ex-conjoint était rarement là pour s’occuper de moi et de mon frère. Je me débrouillais pour manger, me laver et voir mes grands-parents. Il pensait juste à lui, il se droguait, il partait toute la journée. Bref, il n’était pas là.

À l’école Notre-Dame de La Trinité, j'ai vécu mes premiers faux amours avec des filles. Dans ces années-là, je me testais pour voir si j’aimais vraiment les filles. Depuis que j’étais jeune,  j’avais un doute sur mon orientation : avec les filles, ça allait bien, mais il manquait toujours quelque chose que je recherchais. Rendu à la Polyvalente, je me suis affirmé en tant que gai. Cela a été très dur à avouer, car j’ai perdu plusieurs de mes amis.

En 2012, je décidai de me prendre en main, car je ne voulais pas avoir une vie comme mes parents. Alors, je cherchai mes plus grands intérêts et passions : j’aimais les arts, l’histoire, la géographie, le plein air, la musique, l’école, j’aimais parler aux gens et lire. Après plusieurs questionnements, j’ai opté pour l’histoire comme choix de vie. Puis j’ai découvert un lieu de travail où  je pourrais développer ma passion : les musées. En août, je me suis inscrit au Centre Mgr. Beaudoin pour terminer mes études et décrocher mon diplôme. Là-bas, j’ai peint l’un de mes dessins pour l’école des adultes et j’ai exposé mes dessins au centre culturel Marie-Fitzbach. Finalement, je vais entrer en août 2015, au Cégep Montmorency, dans une technique en muséologie.

En 2014, il s’est passé beaucoup d’événements : j’ai reçu mon diagnostic pour un TDA (trouble d’attention), j'ai commencé à prendre du Ritalin et à obtenir plus d’aide à l’école. J'ai débuté mon bénévolat à la Société historique Sartigan. J'ai rencontré des gens pour obtenir de l’information sur du financement pour un musée. J'ai commencé un cours en lancement d’entreprise au centre professionnel Pozer.


Aujourd’hui, je connais ma date de fin d’école et de mon début au cégep. J’ai déjà plus d’avenir que mes parents. Je suis un jeune survivant de la pauvreté et de la drogue. 

Ne jamais perdre espoir


Par Maggie Rodrigue

Depuis le début de ma jeune vie d’adulte, la vie m’a bel et bien donné son lot d’aventures. Mon impulsivité, mes décisions étaient reliées à mes façons de penser : « Je suis maintenant une adulte, je n’ai besoin de personne pour m’aider, j’y arriverai toute seule ».
Malheureusement, cette façon d’être m’a emmenée à bien des endroits qu’on n’ose imaginer pour une jeune femme. Cela m’a menée à ma première relation amoureuse où il n’y avait guère de plaisir… Moi, une jeune femme déterminée,  prête à foncer dans la vie et qui n’avait peur de rien, j’ai rencontré un homme consommateur, manipulateur mais surtout violent. Cette violence psychologique et physique a duré pendant trois ans. La femme que j’étais devenait de plus en plus une femme avec peu d’estime, ayant peur de la vie et surtout sans espoir. 

Pendant ce temps, j’ai vécu trois ans d’enfer, je croyais que rien ne pouvait être pire que cela, que la vie allait m’épargner un peu… Mais non, voilà que je m’impliquais dans une deuxième relation amoureuse, toujours aussi naïve, avec un gars beaucoup plus âgé que moi. Pourtant,  je m’étais dit : «  Voilà, finis les problèmes, j’ai enfin rencontré un homme! » Mais au lieu de cela, c’était encore une fois mon cœur d’enfant qui avait pris le dessus… Même s’il n’était pas violent, cet homme avait son lot de problèmes avec la justice. Il entrait et sortait de prison sans répit, ce qui m’a menée, moi aussi, à avoir des problèmes avec celle-ci, à m’éloigner de tous mes amis, de ma famille et tout cela, par honte. Après quatre ans de vie commune, alors qu’il était encore en détention, je me sentais encore sans espoir, plus perdue. J’en étais rendue au point de me demander : « Qui suis-je? Où vais-je? Qu’est-ce que j’ai fait de bien dans ma vie? Pourquoi toutes ces épreuves? Cette vie vaut-elle vraiment la peine d’être vécue? ». Et je croyais à ce moment que non…

Lors de ces questionnements s’offre à  moi une grande expérience, une expérience unique : celle de partir en voyage humanitaire au Costa Rica pendant trois semaines avec le Carrefour jeunesse-emploi de mon coin. Et ce, avec quelques mois de préparation seulement. Je décide donc d’y aller. Mais je n’aurais jamais cru que la préparation serait si difficile : aller jouer dans mes bobos intérieurs, accepter le passé, apprendre à me faire confiance, faire confiance aux autres , bref, tout ce que j’avais déjà connu étant jeune mais que j’avais perdu depuis plusieurs années. Je me suis permis de pleurer, d’être moi, d’accepter ce qui m’était arrivé mais surtout, j’ai décidé de changer.

Ce voyage m’a permis de rencontrer des gens extraordinaires que je n’oublierai jamais. Les familles là-bas qui nous ont hébergés, acceptés et aimés immédiatement, comme si nous faisions partie de la famille depuis toujours. Surtout des gens de mon coin que je ne connaissais pas et que j’ai appris à connaître. Pendant tout le projet, j’étais toujours avec cet homme qui était en détention, mais je me sentais si seule. La vie venait  me poser les questions suivantes : « Suis-je heureuse? Est-ce que je mérite tout cela? Que dois- je faire pour devenir épanouie? ». Et oui, la vie m’a laissé la chance d’être seule et de répondre à tous ses questionnements. J’ai donc décidé de reprendre ma vie en main, de prendre de bonnes décisions, de me donner le droit d’être heureuse et de reprendre espoir.

Pendant ce projet, j’ai rencontré quelqu’un de fantastique, je n’aurais jamais cru que cela était possible. La vie m’avait permis de choisir de rester malheureuse ou de faire le contraire et heureusement, j’ai décidé de vivre. En fait, de revivre. Cette personne qui a croisé mon chemin m’a aidée à me refaire confiance, m’a fait réaliser à quel point j’étais importante. Un gars comme j’ai toujours rêvé de connaître : grand, en santé, qui aime bouger, faire du sport. Qui est comme moi. Depuis notre retour, nous avons décidé de vivre notre histoire d’amour ensemble et j’ai retrouvé espoir.

La vie ne nous envoie pas mille et une épreuves pour rien. Plusieurs de ces épreuves de vie que j’ai vécues ont eu lieu d’être, non pas à cause de la vie, mais bien à cause des décisions que moi, Maggie, j’ai prises. Depuis que je connais l’homme de ma vie, j’ai appris à vivre le moment présent et je crois sincèrement que ceci est la clef du succès et de la réussite.

Pour conclure, donnez-vous le droit d’avoir une belle vie, soyez heureux et amoureux. L’amour est un des plus beaux cadeaux que la vie m’a offert : celui de reprendre confiance en mes décisions.

jeudi 8 mai 2014

Tout un défi

Par Tomy Grégoire



Léo était un jeune homme de 20 ans qui pratiquait le ski acrobatique depuis plus de 4 ans et il était à Sochi pour les olympiques de 2014, preuve que sa détermination avait porté fruit. Il était passionné de musique et aimait bien jouer de la guitare avec ses amis. Celui-ci était toujours là pour eux, car il avait un grand cœur et adorait les faire rire. Il avait malheureusement la tendance à dire tout ce qui lui passait par la tête sans réfléchir. D’ailleurs, ça lui avait apporté plusieurs situations fâcheuses et cocasses qui faisaient tempêter de temps à autre sa petite amie qu’il adorait plus que tout. Ce jeune homme était grand pour son âge avec de beaux yeux bleus perçants et ses cheveux bruns et courts faisaient tourner plus d’une tête. Puisqu’il était sympathique et avait un bon esprit sportif, ses rivaux aimaient bien compétitionner contre lui.

Durant son entrainement, il atterrit mal après un saut et s’effondra par terre. Léo resta immobile, ses soigneurs accoururent pour voir ce qu’il avait. Ceux-ci l’accompagnèrent à l’infirmerie, car il avait de la misère à se tenir sur ses pieds. Le médecin l’examina. Il prévint Léo ainsi que son équipe qui le supportait qu’il avait une bonne foulure à la cheville gauche. Le médecin suggéra fortement un arrêt pour son rétablissement. Léo avait l’impression de se faire couper les jambes!  Il s’était entrainé pendant plusieurs années pour réaliser son rêve. Tout ça pour rien... Non bien sûr! Avec la détermination que Léo avait, ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. Il décida de faire la compétition malgré sa blessure. Il enroba sa cheville dans un bandage bien serré, s’habilla, prit son équipement et se dirigea à l’emplacement indiqué.

Il fit une très belle compétition, mais ne réussit pas à se qualifier. Tous ses proches étaient fiers de lui, car malgré sa blessure, il visait l’or. Il était ravi d’avoir donné tout ce qu’il avait et se promit de faire mieux la prochaine fois et sans blessure bien sûr!  

Star Académie

Par Johanne Dupuis et Sarah Marceau


De nos jours, il y a de plus en plus de téléréalités au Québec. C’est pourquoi plusieurs personnes sont devant leur petit écran pour se divertir. Dans ce texte, il sera question de l’émission Star Académie, mais plus précisément du concept de l’émission, des avantages et des inconvénients de ce programme télévisé ainsi que des succès de certains candidats.


Concept de l’émission

 
D’abord, la première édition de Star Académie a eu lieu en 2003 et quatre autres éditions ont suivi jusqu’en 2012. C’est une émission pour ceux qui veulent se trouver un métier dans le chant. Julie Snyder  anime ce programme télévisé. Les participants peuvent être âgés de 18 à 30 ans. Les candidats doivent se surpasser, car ils se présentent devant le public en direct pour faire valoir leur talent. Dans ce programme, on peut voter par internet ou par téléphone, les spectateurs votent pour leur candidat préféré et l’autre candidat est éliminé et rentre chez lui. De plus, il y a plusieurs invités-surprises comme Hedley, Johnny Hallyday, Céline Dion, etc. Il y a aussi des professeurs de chant, de danse et de mise en scène pour aider les jeunes artistes.


Avantages et désavantages

 
Après la dernière émission, les quatorze candidats enregistrent un disque et font par la suite une tournée de spectacles à travers le Québec. Le grand gagnant, quant à lui, remporte une bourse de 50 000$ et un contrat de disque. Toutefois, certains artistes qui n’ont pas gagné ont quand même percé dans la chanson. Cependant, il y a aussi des désavantages à participer à cette émission. Dans ce programme, les candidats sont beaucoup en retrait de leur famille, car ils leur parlent seulement une fois par semaine. Ils ont un horaire difficile qui est très chargé et ils se couchent tard. De plus, ils subissent un stress aux éliminations, car ils ont peur de perdre.


Succès de certains candidats

 
Marie-Mai est celle qui a surpris le plus, car elle a persévéré dans le métier, et ce, même si elle n’avait pas gagné. Aujourd’hui, elle a maintenant 10 ans de carrière au Québec et aussi en France donc elle a plusieurs admirateurs qui l’ont soutenue pendant toutes ces années. Elle a produit aussi un disque platine pour son quatrième album Miroir. De plus, la gagnante Stéphanie Lapointe est maintenant mère d’une petite fille. Celle-ci a eu plusieurs offres dans le film La Belle et la Bête et dans des comédies musicales. D’autres sont bien renommés comme Annie Villeneuve et Marie-Élaine Thibert. Ensuite, Maxime Landry a gagné en 2012, car grâce à sa voix, il a conquis les juges et le public. Il a chanté aussi avec Céline Dion avec qui il a formé un duo formidable. Maxime est un candidat de la Beauce, tous les Beaucerons sont fiers de lui. Également, Wilfred, un pêcheur du Nouveau-Brunswick, est le gagnant de la saison de 2003. Le dernier grand gagnant est Jean-Marc Couture. Il vient de Val d’amour, il a 23 ans et il joue de la guitare.

 

Pour conclure, les candidats sont très appuyés par leur famille, les professeurs, les juges, en plus d’avoir des spectateurs qui les encouragent à continuer dans leur profession. Pour plus d’informations sur ce sujet, consultez le site internet suivant: http://www.staracademie.ca/

 

Les voitures

Par Jimmy Gagné et Sébastien Vachon
 
 

De plus en plus de jeunes obtiennent leur permis de conduire. Comme chaque jeune voudrait avoir sa voiture de rêve, plusieurs véhicules se retrouvent alors sur la route. Dans ce texte, il sera question de l’invention des autos, des autos de base et des modifiées et du salon de l’auto de Québec.  


Invention de l’automobile
 

Pour commencer, l’invention de l’automobile n’a jamais arrêté d’évoluer comme toutes les autres inventions. La première voiture a été créée par Joseph Cugnot en 1769, un inventeur militaire français. Les voitures qu’il avait construites aidaient à la seconde guerre mondiale. Il y a eu 7 personnes qui ont succédé Cugnot jusqu’à Henri Ford qui a lui aussi enrichit le marcher automobile en construisant plus de 9504 voitures, ce qui a permis de construire les routes et les autoroutes.

 
 Auto de base et modifiée
 


Ensuite, les autos peuvent être modifiées et normales (de base). On peut les modifier en y ajoutant des ensembles de jupes, des roues courbées, des jantes, des pneus de différents flancs, etc. Il est aussi possible de mettre une suspension ajustable. Cependant, il n’y a pas juste le style que l’on peut modifier, il y a aussi plusieurs moteurs. Par exemple, la Honda Civic a un moteur de base comme un D16Y7, mais pour être plus performant, les amateurs peuvent mettre un B18, K20 qui est puissant pour sa petite catégorie. D’ailleurs, les Types S sont les moteurs les plus forts et le modèle haut de gamme de Honda est Acura.

 
 
Le salon de l’automobile du Québec

 
Par la suite, on peut visiter le Salon de l’auto du 9 au 14 mars et cette année c’était la 33e édition du salon. Le vrai nom c’est le salon international de l’auto de Québec. Sur des lieux différents, il y a des essais routiers de toutes les marques de voitures électriques et des voitures avec du carburant. Chaque industrie emporte leur automobile électrique et permet un essai de chaque modèle pour en déduire le meilleur. Durant la matinée, il y a toute sorte d'activités où l’on peut découvrir tout ce que contient le salon.
 
 
Pour finir, l’invention de l’automobile a fait en sorte que l’on peut parcourir plus de distance en si peu de temps. Les automobiles modifiées se font plus rares puisqu'à long terme ça devient très dispendieux pour la mécanique si elle brise ou s’il y a des dommages ou de la rouille qui prend le dessus de la carrosserie. Les salons des automobiles ont plusieurs endroits dans le monde, mais le plus proche est celui de Québec. Il accueille des milliers de visiteurs chaque année. Pour en savoir plus, il est possible de visiter le : www.autoquebec.salon.ca
 
 

 

La Voix

Par Pascale Vermette et Jessica Dupuis
 
 
De nos jours, il y a plusieurs concours de chant qui permettent de trouver de nouveaux chanteurs et chanteuses au Québec.  Ainsi, l’émission La Voix est arrivée sur notre petit écran afin d’y trouver de nouveaux talents vocaux. Dans ce texte, il sera question de l’émission La Voix, mais plus précisément des préauditions, du fonctionnement de l’émission et de la grande finale.


Les pré-auditions

D’abord, La Voix est une émission qui consiste à rechercher les plus belles voix du Québec. L’animateur de cette émission est Charles Lafortune. Son principal rôle consiste à accueillir les candidats et leur famille. Les personnes qui s’inscrivent à ce concours doivent être supposément âgées de 15 à 116 ans. Pour ce qui est des candidats retenus lors des prés-auditions, ils seront conviés aux auditions à l’aveugle. Lorsqu’un juge est intéressé à avoir un candidat dans son équipe, il actionne le fameux bouton rouge. De plus, les chanteurs peuvent chanter seuls ou bien en duo. Lors de leur prestation, ils peuvent être accompagnés d’un instrument de musique. Cette compétition vocale a lieu sur les ondes de TVA à 19:30 le dimanche soir.

 
    Le fonctionnement de l’émission

En ce qui concerne le fonctionnement de ce programme télévisé, les quatre principaux membres du jury sont : Louis-Jean Cormier, Éric Lapointe, Isabelle Boulay et Marc Dupré. De plus, chaque juge a son mentor. Le mentor consiste à aider le coach à choisir entre les deux excellents participants. Le « buzzer » sert principalement à choisir ses propres concurrents afin de former une équipe de douze personnes par coach. Une fois les quatre équipes formées, le duel peut alors commencer. Les coachs doivent choisir deux personnes de leur équipe pour former un duel qui oppose deux participants de la même équipe à s’affronter pour être éliminé ensuite. En effet, chaque participant se retrouve dans le studio pour pratiquer leur interprétation musicale. Après leur numéro, les juges peuvent ainsi voler la personne qui n’a pas été choisie pour lui donner une deuxième chance.
                           

La grande finale

La grande finale est importante afin de déterminer le vainqueur. À la dernière étape, il ne reste plus que quatre personnes en lice pour devenir le grand gagnant de ce programme télévisé appelé La Voix. Par la suite, le public devra voter pour déterminer la plus belle voix du Québec. Les quatre champions auront une voiture neuve. De plus, le grand gagnant pourra réaliser son rêve d’enregistrer son album solo. En plus de cela, il repartira avec une bourse de 50 000 $.

 
Pour conclure, La Voix est une émission populaire à travers la province, car plusieurs Québécois et Québécois peuvent s’y inscrire pour réaliser leur plus grand rêve. Pour de plus amples informations sur cette émission, consultez le site web suivant: http://tva.canoe.ca/emissions/lavoix/accueil